Philippe Ep 28 : C'Est Reparti Pour Un An
PHILIPPE
EP 28 : C'EST REPARTI POUR UN AN
Alors là j'étais dégoûté !
Mes deux tontons m'avaient roulé et il n'y avait pas qu'eux, mon Papy aussi et si ça s'arrêtait là ... il y avait aussi tout le personnel de la maison, Alex par exemple
Je suis sûr qu'il connaissait ce détail à propos des dispositifs à clé unique lui aussi.
On ne peux vraiment faire confiance à personne !
Vous imaginez que je n'ai pas traîné. J'avais retiré le dispositif quelques instants plus tard et j'arrivais au cours
En retard.
Le prof : Alors là bravo Monsieur Brosso, bravo ! Premier cours de l'année, premier retard aussi !
Moi : Faut pas perdre les bonnes habitudes !
La classe était pliée de rire, et moi je me retrouvais dans la salle d'attente du bureau du directeur. Avec Nadine je discutais, on se racontait nos vacances. Nadine c'est la secrétaire, elle est adorable, on se connaît bien, elle me voit souvent. C'est elle qui me donne mon billet pour revenir en classe à chaque fois que je me fais jeter du cours
C'est à dire souvent !
Nadine : Tu étais sur Magic Island. Tu en as de la chance, tu t'es bien amusé au moins ?
Je lui disais ou j'étais. L'endroit est célèbre et convoité. Et comme le directeur n'arrivait pas je lui racontais.
Nadine : Mais qu'est-il arrivé à ton nez ?
C'était guéri mais j'avais encore quelques marques.
Moi : Rien on nous a agressé, ils étaient cinq et il a fallu que je me défende !
Nadine : Mon dieu cinq. Tu n'as pas été trop blessé j'espère !
Moi : Moi ! Pfff ! Non presque rien ! Bon il m'ont cassé un peu le nez mais tu aurais vu leurs têtes
Eux ils ont passé quelques semaines à l'hôpital
Nadine : Quelques semaines
? Ça va j'ai compris tu me racontes des bêtises. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Moi : Mauvaise chute !
Nadine : Rien de trop grave ?
Le directeur arrivait et en me voyant
Le directeur : Non pas lui ! Tout se passait si bien depuis deux mois ! Nadine donnez lui son billet de retour et laissez moi reprendre l'année calmement, je refuse formellement de me mettre en colère aujourd'hui !
Là je ne vous cacherais pas que j'étais surpris.
Le premier soir je retrouvais Théo. Tout l'interna dormais, enfin quand je dis tout. Je suppose qu'il devait y en avoir qui se branlaient. Mais bon, quand on peut pas dormir il faut bien s'occuper, surtout si on fait partie de la petite moitié qui ne portait pas de dispositif de chasteté ...
Bein justement moi je ne pouvais pas dormir. Ça vous étonne peut être ?
Ça faisait des mois que je portais ce truc autour de ma queue et c'est seulement aujourd'hui que je l'avais retiré, et en plus j'avais même pas eu le temps de me détendre, enfin de me branler, mais vous aviez rectifié. Il avait fallu que je me dépêche, puis j'étais arrivé en retard à mon cours puis j'avais attendu une heure devant le bureau du directeur puis je m'étais fait jeté par le directeur qui n'avait même pas voulu m'engueuler
J'étais tout retourné moi !
Donc ça faisait des mois que je portais ce truc
Enfin des mois peut être pas, des semaines oui, là ça en faisait plusieurs mais des mois peut être pas. Mais bon de toutes façon c'était trop, beaucoup trop. Je vous l'ai déjà dit plus d'une fois, moi ce truc, JA-MÉ ! Enfin maintenant je dirai
PLU-JA-MÉ !
A partir de maintenant je vais plutôt m'amuser avec ma queue et avec le cul de mes petits camarades et c'est un peu pour ça que j'avais entraîné Théo sous la douche ce soir de premier jour.
Je me déshabillais rapidement
Oui vous aviez deviné
Je bandais !
Théo faisait un peu la gueule en voyant ça mais bon vous commencez à le connaître, et nous savons tous que quelquefois il est un peu ronchon !
Moi : Bêê alors doudou tu fais la gueule ?
Théo : Tu m'appelles doudou toi maintenant ? Oui je fais la gueule !
Moi : Bôôôa ! Mais tu sais que ça te va à merveille ton truc !
Théo : Tu peux parler toi, tu ne le portes plus et tu ne vas pas le remettre de tout le reste de l'année.
Il bandait ferme le petit Théo, enfin il essayait ! De là à dire qu'il y arrivait. Moi je rigolais, je bandais ferme, ma queue était presque à la verticale. A la verticale mais pointant vers le haut je vous rassure et en face de moi Théo avec son dispositif qui se redressait tristement me faisait pitié.
Je le prenais alors dans mes bras, depuis deux mois j'avais tenu plus d'une fois ce corps que je connaissais bien maintenant. Il frémissait et c'est sans doutes de le sentir ainsi que j'étais brusquement saisi par un violent élan de romantisme et n'avais plus qu'une seule envie
L'enculer !
Oui je sais, mais dites vous bien que je viens d'avoir dix sept ans et le romantisme
Ça me fait bander ! Remarquez j'ai peut être une perception personnelle du romantisme ?
Je ne lui sautais pas dessus pour autant. Bon ça va je sais me tenir. Je l'entraînait sous la douche, là je le prenais dans mes bras, il tremblait pourtant il ne faisait pas froid. On s'embrassait, on se caressait, il me lavait la queue avec douceur, je lui tripotais tranquillement son dispositif de chasteté, je m'attardais sur ses couilles. Elles ne formaient qu'une seule grosse boule, déjà bien ferme. Il me laissait faire.
On se savonnait partout l'un l'autre. Ici les douches restent ouvertes toute la nuit, il y avait peu de chances qu'on soit dérangé. Dans les salles vides, le son résonnait et si une porte s'ouvrait on l'entendrait, même sous la douche .
Je le serrais contre moi, je glissais ma queue entre ses cuisses, juste en dessous de son dispositif qui se redressait contre mon ventre. Je passais mes mains sous ses fesses et le tirait vers moi. Il ne faisait plus la gueule, il me souriait et m'embrassait.
Ses baisers devenaient plus entreprenants, je sentais ses lèvres sur mon cou, sur mes épaules, le relevais la tête et recevais l'eau sur mon visage, comme une pluie chaude et douce. Puis son visage descendait contre mon torse, je sentais ses lèvres me chatouiller doucement les téton, ensuite c'était le bout de son nez.
Il s'était penché contre moi puis accroupi et maintenant je luis caressais les épaules, le haut de son dos, je lui caressais les cheveux et l'idée de lui faire un shampooing me traversais l'esprit
'' Mais c'est n'importe quoi ! '' , je me disais dans ma tête. '' Enfin c'est pas le moment quoi ! ''.
Et au moment ou sa langue passait sur mon gland je rigolais à l'idée que j'avais eu quelques instants plus tôt. Il arrêtait et me regardais.
Théo : C'est moi qui te fais rire ?
Moi : Non ! C'est dans ma tête
Théo : Ah parce qu'il y a quelque chose dans ta tête maintenant ?
Moi : Beuh
!
Il reprenait et avalait d'un trait ma queue sur toute sa longueur. Là je ne disais plus rien. Je préférais le laisser faire, de nouveau je relevais la tête en arrière, passais ma main sur ma nuque et finalement je me faisais un shampooing pendant que lui me suçait la queue avec la plus grande douceur.
Il faisait une pause, je le sentais relever la tête, je l'entendais soupirer en me voyant faire puis il reprenait. Quand je terminais de me rincer les cheveux, je lui caressais de nouveau les épaules, le haut du dos, et de nouveau je passais mes mains sur ses cheveux.
J'avais la bouteille de shampooing dans la main et finalement
Moi : Ne bouge plus et ferme les yeux.
Sans attendre je lui passais du shampooing sur la tête et lui lavais les cheveux. Je l'ai senti sursauter, ça a dû le surprendre mais pendant que je lui massais le cuir chevelu je sentais sa langue qui s'enroulait autour de ma queue, je sentais sa glotte qui me chatouillait le gland
Enfin je ne sais pas trop ce que je ressentais mais je vous jure que c'était super agréable. Je finissait par lui rincer la tête. Il se relevait, me regardait.
Théo : Tu es grave toi ! On ne me l'avais jamais fait ça.
Moi : Tu as aimé ?
Il pouffait de rire.
Moi : Je dis ça parce que moi j'ai beaucoup aimé ce que tu me faisais.
Je le prenais dans mes bras et c'est moi qui le couvrais de baiser.
Théo : Vas-y je vais te laver les cheveux à mon tour.
Moi : Déjà fait !
Théo : Ah oui ! C'est vrai.
Moi : Mais tu fais bien d'en parler
Retourne toi tu seras mignon !
Théo : Bien fait d'en parler
Pfff
( il poussait un grand soupir en levant les yeux au plafond ) .
Mais il s'exécutait, il se retournait, se penchait en avant en s'appuyant contre le mur, il écartait les jambes et retournait la tête ver moi. Je l'embrassais avec passion et prenait position. Je me sentais inondé de romantisme et si dans ces cas là je pousse bien à fond sans réfléchir, je ne sais pas ce qui m'a pris, je vieilli sans doute. J'ai alors enfoncé ma queue dans son cul avec douceur, je le serrais contre moi, nos deux langues se caressaient l'une l'autre. J'y allais avec force mais aussi avec lenteur, je lui laissais tout le temps nécessaire pour qu'il se détende, je sentais son muscle anal envelopper ma queue. C'était à la fois une pression forte et douce.
Je passais une main sur sa gorge et le serrais fort, sans pour autant lui couper la respiration. Il respirait plus fort, plus je m'enfonçais plus il respirait fort et quand mon ventre s'écrasait sur les fesses il poussait un grand gémissement : '' Ah oui c'est bon, j'aime quand tu me prends comme ça ''.
Je poussais alors un peu plus fort et lui écrasait les fesses, ma queue se calait bien confortablement au fond de son cul. Il gémissait de nouveau encore plus fort. Je me retirais alors, toujours avec lenteur. Il ne se retenais plus et gémissait avec une sorte de sanglot dans la voix.
Je revenais, en accélérant tout doucement le mouvement, il gémissait. Je me retirais et à chaque mouvement accélérais. Quelques instants plus tard, mes mouvements étaient devenus violents et rapides. Il gémissait de plaisir, j'y étais venu progressivement, il ne cachait pas qu'il aimait. Il m'encourageait à continuer, il en redemandait et je lui en donnais.
Mes coups étaient rapides, violents, amples. Mon bassin claquait fort contre ses fesses. Je le retenais dans mes bras mais il n'essayait pas de se sauver. Il avait passé un bras dans son dos et me caressait le côté droit, il passait par moment la main dans mon dos comme pour me retenir. Il avait la tête penchée en avant et j'avais un peu l'impression qu'il pleurait mais ce n'était qu'une impression.
J'ai gémi à mon tour, j'ai râlé de plaisir, j'ai gueulé de toutes mes forces au moment ou j'ai joui en lui. J'ai tremblé puis je me suis écroulé sur lui. Je le tenais serré contre moi mais c'est lui qui me retenait. Ma queue était encore bien enfoncée en lui, on ne bougeait plus, c'est seulement quelques instants plus tard que je me retirais, je bandais encore mais moins et moins dur.
Je le couvrais de baisers sur les épaules. Il se retournait face à moi, me prenait dans ses bras, il avait éjaculé, il avait joui lui aussi. On partageait un long moment de douceur intime quand on a entendu des applaudissements.
De surprise Théo a hurlé, j'ai hurlé moi aussi mais c'était pour faire comme lui
En même temps je regardais autour de nous, c'était Peter !
Vous vous souvenez de Peter, c'est lui qui donne des soirée coquine dans sa chambre, il ne porte pas de dispositif et en profite pour enculer tout ceux qui veulent bien le laisser faire. ( Ep 11 ).
Peter : Et bien les filles, ça c'était quelque chose !
Moi : Tu es là toi ! Alors ça t'a plu ? Tu es arrivé quand ?
Théo ne disait plus rien, il regardait Peter et semblait faire la gueule, on était toujours dans les bras l'un de l'autre.
Peter : Ça fait un moment que je suis arrivé, tu avais l'air bien en forme. Il faudra que tu nous emmène ton copain un de ses soirs.
Moi : Si ça te tente, je te le prête !
Théo : Hé, hééé !
Peter : C'est bon pour moi, je viens de me vider les couilles également, sinon ça n'aurait pas été de refus !
Théo : Ho, hooo !
Je donnais un baiser sur l'épaule de Théo qui arrêtait de râler.
Peter se joignait à nous et on terminait notre douche.
Peter : Alors vous avez fait quoi pendant vos vacances.
Théo : Magic Island !
Peter : C'est pas vrai tu as fait comment pour réserver, il paraît qu'il faut s'y prendre des mois à l'avance
Moi : Ma famille à une maison sur place !
Peter : Ah oui ça explique j'aurais du m'en douter.Tu as des entrées partout toi !
Théo : Je suis aussi allé dans l'espace.
Peter : Non ! J'y crois pas ! Raconte !
Finalement Théo et Peter sympathisaient, Peter lui racontait.
Peter : Et toi Philippe tu as trouvé ça comment ?
Théo : Il n'est pas venu avec nous lui, il s'était fait mal au nez !
Moi : Enfoiré, c'était pas la peine de lui dire.
Peter : Allons bon qu'est ce qu'il t'es arrivé au nez ?
Agacé je revenais dans les vestiaires pour me sécher et m'habiller. Ils me retrouvaient quelques instants plus tard, Peter rigolait, Théo lui avait raconté.
Peter : Et bien on m'en dit de bonne à ton sujet. Tu as fait fort. J'aurais bien aimé aller avec vous.
Théo rigolait mais là c'est moi qui faisait la gueule. On finissait par revenir à notre chambre. Peter et Théo s'entendaient bien finalement, Peter l'invitait à passer le voir dans sa chambre. Je marchais devant et eux me suivaient en rigolant.
Moi : Mais pourquoi tant de haine Théo ? Il ne fallait pas lui raconter toutes les conneries que j'ai fait.
Théo : C'était juste de la vengeance !
Moi : Vengeance ! Mais j'ai rien fait moi ! Je t'ai juste enculé !
Théo : Tu voulais me prêter tout à l'heure !
Moi : Bein si je ne peux plus dire de conneries moi
Peter : Tu n'aurais plus qu'à te taire, c'est vrai !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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